Aaaah, Debora, comment te faire part de mon trouble ?
[Debora Altman s'occupe de la photo, au Figaro, NDLR]
Je pourrais te pardonner cette manipulation, car c'en est une.
Je pourrais te pardonner l'enjeu politique que tu défends tous les jours en jurant le contraire.
Je pourrais te pardonner cette monumentale bourde (au fait, la bague vaut 15000 €, c'est pas moi qui le dit, c'est l'Express), tellement énorme qu'elle en est drôle.
Mais ce que je ne pardonne pas, c'est la façon dont tu te défends :
On a bouclé dans l'urgence, on assume [...]
Ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah !
ah ah ah !
aha !
ah.
Pourtant, ça prend du temps, quand même, de retoucher ce doigt. Je veux dire, plus que choper une autre image pour pas cher. Sauf que celle-ci est signée François Bouchon / Le Figaro. Pas de frais supplémentaires, donc (qu'en pense l'intéressé, d'ailleurs ?). Bref, retouchons.
J'ignore si Le Figaro va retoucher ton CDI, Debora. Mais je crois savoir qu'au dernier étage, il y a Étienne Mougeotte, non ?
On n'en est plus à une manipulation près, pas vrai ?
Non, je dis ça, c'est pour t'aider à préparer ta défense le jour de l'entretien.
Bon courage, hein.
2 commentaires:
Et dire que c'est des gens comme cette Debora machin qui viennent ensuite donner des leçons sur ce qu'est l'image: que vous les photographes et patati et patata...
Patatra, oui..!
Iconos, redac-photo et autres faites correctement votre boulot et après on parlera... Sans doute, on parlera pas du coup...
Tiens, c'est marrant, j'ai envie de vomir...
Moi je dis qu'il faut pas lui jeter la première pierre (surtout quand elle pèse dans les 15000 euros, la pierre)
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